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« Le soir tombait tout doucement sur la forêt. A la lisière du bois, la Lune était cette nuit absente et se rendait à une soirée. Cela arrivait une fois par mois et, ces nuits-là, l'étalon se sentait terriblement seul et délaissé ; il ne pouvait pas faire passer le temps autrement qu'evec Elle. L'herbe grasse faisait « krup krup » sous ses dents aiguisées, et destabilisaient le silence perturbable de la pénombre. Les odeurs hivernales se mélangeaient : la rose, la nuit, la rosée, les derniers rayons ocre du soleil qui, ceux-là, avaient une saveur pâteuse. La première étoile était apparue. Cette étoile n'était pas une vraie étoile, comme tout le monde croyait pouvoir penser. C'était Jupiter, maîtresse de jour de la résurrection du Saint des humains. L'étalon noir était éclairé d'une faible lueur diffuse qui se réfléchissait soyeusement sur sa robe d'ébène. »

x Depuis bien une heure que je trotinais sans un but, juste pour me défouler et faire le tour de ses terres. Aussi dabs l'espoire de croiser quelqu'un, si possible qui ne soit pas prédateurs. Qu'il soit cheval ou pas ne m'importais peux, de nature ouverte et a des milliers kilomêtre d'un etre timide, je vais au devant des autres. Je ralentissa mon alure pour me mettre progressivement au pas dans le but de ne pas commencer a abimé mes jambes encore en croissance. Oui, je prends soin de moi mais ayant manqué du lait maternel, je me sais de corpulance moins résistante qu'une autre pouliche de mon age. Je tente de compenser en me fogeant une musculature progressive ... . Je humma a douce brise qui m'apporta une odeur bien présise.
Un étalon non loin de moins mais pourtant pas visible.

x Je mit donc a sa recherche en tendant mon encolure vers le haut. Biensure je ne chercha pas a me masquer. C'était risquer mais qui ne prend pas de risque n'avance pas. Je n'alla pas a sa rencontre tout de suite mais je le détailla soigneusement cette autre ... si noir. Bizarement je remarqua seulement que le soir commencait a tomber sur nous. Je fut tenter de rebrouser chemin pour me mettre dans un endroit avec plus de végétation, des arbres ... bref des choses pour m'y coucher en sécurité. Ma curiosité, sale d'aillieur quelque fois m'obligeait a rester. Dans une foulé au l'on voyait ma confiance j'alla vers lui

- bonsoir

Sa tête était invisible, car dans l'angle mort de la lumière des étoiles et de la lune. Il l'entendait s'approcher, et la sentait, mais il ne bougeait pas. Il fut pris d'un long frémissement quand il entendit des pas allants vers lui. C'était à ce moment-là qu'il entendit qu'on le saluait. Il attendit encore quelques secondes, attendant voir si l'interlocuteur allait se résigner à l'approcher. Mais rien y fit. Alors, il tourna ta tête vers elle. Elle était derrière lui. Et c'est là que ses lèvres se retroussèrent, telles un loup. Son regard était froid, même plus, agressif et menaçant. Un grognement rauque sortit de ses entrailles et brisa ce silence majestueux. Il n'avait aucune sensibilité pour celle qu'il venait de trouver devant lui. Il naimait pas qu'on le dérangeait pendant son repas.

x Sa réaction je la comparra a celle a un loup qui chasse les autres d'un grognement. Sauf qu'il n'était pas un cheval et je trouva son coportement disproportionner. Biensure je m'attendut pas a une telle réaction, biensure il aurait juste baisser les oreilles mais la. Je sursotta légèrement malgrés tout car je n'avais pas vue sa tête au début. Du coup qu'il ne me répondit pas ne m'étonna pas mais biensure je n'apprécia pas. Pourtant je me tue de telle individu s'en moquait ce que l'autre pouvais bien penser. Ils avaient pas tord ôi même je me moquais des pensée des autres. Je ne chercha pas a parler pkys mais me décala un peu, je n'avais pas l'intention de m'en aller ... juste le laisser manger. Mon regard voyageait entre lui et se qui nous entourais. Même si il semblait guèrre apprécier ma présence, je ne dédaigna de bouger d' ici .. buté oui.

L'étalon peristait à vouloir la repousser par sa moue agressive jusqu'à ce qu'elle s'exécute. Les juments étaient une chose bien mystérieuse pour lui, et cela lui faisait peur. Il ne se faisait confiance qu'à lui-même. Toujours le dos tourné à son interlocutrice, il leva cette fois-ci les yeux vers la grande ourse. Cette étoile était si brillante qu'il l'admirait. Il avait toujours voulu être une étoile. Mais il était noir, sombre, sale, et ne renvoyait pas ou peu la lumière. Le grand mâle s'écarta de plusieurs mètres au pas lent mais nerveux pour arracher une impressionnante masse d'herbe sèche. Il était difficile d'en trouver par ici. L'herbe sèche lui rappellait quelquechose de familier. Il ne regardait nullement l'animal qui se trouvait à sa gauche et l'avait déjà presque oubliée. Son corps était redevenu calme et diffusait une inquiétante chaleur.