( MOON LIGHT' [E]

Présentation de [ MOON LIGHT ]

» Nom : Moon Light
» Age : C'est donc ça l'important ?
» Race : Une seule question perfide par jour, une seule ...
» Famille : Mon sang est mêlé a ceux d'inombrable troupeaux,
Aujourd'hui je m'efface telle une mer sans eau ...
» Descendant de : VAGABOND'

» Caractère : Mystérieux et compliqué, c'est ce qui définirait le mieux son caractère. Impulsif et arrogant, il a ce gout de se foutre de la tête du monde, jeu qu'il pratique hardiment depuis son enfance. Et il se montre très perspicace, connaissant les points sensibles d’un simple regard. Son caractère d’inlassable vagabond la prédestiné a être froid et sournois avec chaque êtres qui croisent sa route. C'est un sauvage à l'état pur, il ne se plie à aucune loi, et déteste plus que tout devoir obéir, ce qui peut le rendre violent. Doté d’une forte intelligence qui n’a d’égal que son arrogance Moon Light' reste avant tout fier et imprévisible, on se sait jamais comment il va réagir, jonglant d’un extrême a l’autre … Il est dominant, et dans un groupe d’individus, il est sans aucun doute le meneur de jeu, faisant appliquer très sévèrement ses propres règles. Fier & agressif, si vous affichez un sourire moqueur, il vous le fera amèrement regretter. Bagarreur et destructeur, il a de solide atout physique, et une envie mordante d’avoir recours a la violence, pour chaque petit désagrément. Impressionnant, il n’a même pas besoin de jouer la carte de l’intimidation pour en fait trembler plus d'un.
Il est aussi très rancunier, méfiez vous de lui, il cache bien son jeu. C’est un manipulateur avertit, il vous embobine avec je en sais quels mensonges, et vous n’en rechaper pas sans séquelles, qu’elles soient morale ou physique.
Mais si vous cherchez bien, c’est un cheval noble, un pur aristocrate au grand cœur, qui s’est blindé de tout. Laissez-lui du temps, sa sagesse accroitra avec l’âge, simple question de patience. Avec les gens qu’il aime, ce qui n’est pour le moment jamais arrivé, il est possessif et fidèle. Téméraire fou, prêt a tout pour vous sortir d’un mauvais pas.

» As-tu lu le réglement ?

» Comment as-tu connu ce forum : Par un hasard sans nom.
» Ton avis ? I love you

» Améliorations utiles selon toi : Aucune

Bienvenue.

Tout est parfait,tu peux jouer Wink

Prend le temps que tu voudras pour l'histoire.

Tu peux mettre Vagabonds comme descendance Smile

Bienvenue & bon jeu !
Très spécial la signature ♥

» Histoire : Comment trouver les mots justes, pour decrire un paysages dont on ne se souviens que vaguement ? Il est vrai que des fois on retrouve un element de ce cadre, dans un autre identique, et là , tout les souvenirs que nous avons dans cet endroit submerge notre esprit. Moi, quand je ferme les yeux, je vois une vallée... Une etendut plus ou moins herbeuse et plate, defendut par de grand pics enneigés qui semble perçait les nuages, et defier le ciel. c'est un peu idealiste, je sais. Mais n'oubliez pas que ce que je vous decrit la, je les vu avec mes yeux de poulain, vous savez cet age, ou tout vous est indifferent, ou vous etes inscoucient, et ou tout parait grand et beau, innofensif et irrel. En grandissant nous devenons tous plus realiste, meme si on prefere garder une part de naiveté, et fermer els yeux sur certaines choses... Pourtant je ne me souviens pas d'un endoit lumineux, c'etait un surface plane, enduite de hautes herbes vert sombre. Il y avait de petites collines, plus degarnit, ou l'herbe etait rase, ce qui equivau, pour un cheval adulte, plutot a un talus, qu'a une colline. On ne distinguer pas vraiment les saisons, c'etait sans cesse humide, le sol etait gorgé d'eau, cela ressemblait a des marecages. Seules les temperatures nous donnait une indication sur la periode de l'année, ainsi que les rares fois ou le soleil arrivait a percer le brouillard, bas et epais, qui englobait perpetuellement la vallée. Pour voir le soleil, il fallait monter sur les hauteurs, plus rocailleuse, et plus fraiche, certe, mais c'etait le seul moyen, a ma connaissance. J'oubliais de vous parler des arbres, tres imposant, qui parsemait l'etendut, qui me paraisser autrefois, immense. Je ne serais vous dire de quels arbres il s'agissait; leur tronc etait d'un brun tres foncé, leurs branches massives, etait recouverte de larges feuilles claires nervurées. Ils etaient tres eparpillés sur toute la prarie, sauf a un endroit ou ils formaient une vegetation dense. Ils semblaient proteger, le seul point d'eau potable des terres. Un simple etang, qui refletait la couleur du brouillard, mais qui prenait un tont bleu somptueux, lorsque le soleil fesait une de ses rares apparitions. Venons en au jour fatidique... Etendut sur le flanc pres de ce point d'eau, seule, a la lumière de la lune, une jument entammait peniblement son travail. Une grande flaque de liquide , temoignait de la perte des eaux, et elle hennissait de douleur a chaque fois que ses flancs contractés se soulever en sacade, pour retomber brutalement par la suite. Un leger voile blanc, hornait ses flancs, son poitrail, et ses cuisses, lui donnant un air luisant, propre a une forte transpiration. Moi, je n'avais rien demmandé, j'etais bien sagement a l'abri de tout dans le ventre de ma mere, quand j'en fut arracher par une enieme contraction. Torturé, mes anterieurs, tendut devant moi sortirent les premières, puis vint le reste. J'etais ecrouler dans l'herbe, enveloppé d'une substance visqueuse, dont ma mere vint m'extirper a coup de langue. Tout ma vie je me rapellerer de la première fois, ou mes naseaux ont aspirer une grande quantité d'air, en fesant gonfler mon ventre. Je me suis mis a hennir de douleur, s'etait horrible, ça fesait terriblement mal ! Ne voulant pas retenter la chose, je me restreins au mieux, refusant d'avaler une nouvelle bouffée d'air. Premiere surprise, je realisa que je ne controlais pas cette partie, en effet, mon ventre se soulevait toujours, et mes naseaux inspirait et expirer normalement. Pour un petit poulain qui voulais deja tout controler, cette etape fut dure a accepter... L'air renfrogné, mes yeux noirs de jais se figèrent sur ma mere a terre, des rales d'agonie me parvenait a chacunes de ses respiration, me couvrant d'effroie, et peignant sur mon visage angelique, un air horrifier. essayant tant bien que mal de tenir sur mes jambes, je titubais, m'ecrsant lourdement contre le sol dur, a quelques metres d'elle, je voulais la voir. Mon coeur se serrait en entendent les toussotement de la jument, qui avec presque autant de peine que moi se tint debout, pour enfin s'approcher de moi. Son souffle chaud m'a enveloppé et rassuré sur mon sort, tres lentement, elle m'a aidé a me lever, mes jambes tremblaient, et j'avais besoin des anticorps qui se trouvait dans le bon lait chaud, que je n'avais encore pus gouter. Mon petit nez froler le ventre tiède de ma mere, et je buta contre sa cuisse, avant d'attraper avec mes levres molles, les mamelles. Le liquide blanchatre sans consistance, penetra dans ma bouche, et glissa desagreablement dans ma gorge, manquant de me faire tousser, mais on y prends vite gout, et pendant que je buvais goulument, je ne me rendis pas compte des tremblemens dotn ma mere etait victime, et avant meme que je me blotisse contre elle, je la vis s'ecrouler au sol, les yeux clos.

La suite de cette histoire est beaucoup plus claire dans ma tête, le fait d’avoir encore plus souffert que le jour de ma naissance a gravé cet épisode dans ma vie dans ma mémoire, très certainement pour toujours. La douleur à le pouvoir de faire ressurgir des choses que l’on croyait naïvement avoir oublié. On n’oublie pas l’absence d’une mère, je ne sais pas si vous vous rendez compte de ce qu’est la perte de sa génitrice a sa naissance, c’est quelques chose de terrible, qui engendre des situations encore plus compliquées. Il faisait noir, le moindre bruissement de feuille me faisait écarquiller les yeux, je ne savais rien de la vie, j’ignorais ce qui m’avait entrainé ici, j’avais peur. A ce moment là je me disais que j’aurais préférais ne jamais être né. Mis au monde il y a à peine quelques heures, et déjà le sentiment de ne pas être a sa place, la vie me semblait bien rude. Mon estomac était tiraillé par la faim, je me sentais faible. Je me souviendrais toute ma vie de cette nuit là … L’orage gronder, un vent violent s’était emparé de la vallée, a cet instant pas une seule goutte de plus, le ciel sortait de sa torpeur, déferlant sa colère. J’étais allongé sur l’herbe rase, j’entendais l’eau du lac claquait sur la rive.
Mes intestins se nouaient, sévissant sévère mon ventre, alors qu’en plus j’étais affamé. & tout ça sans parler de la grosse boule qui comprimer ma gorge, l’angoisse prenait possession de moi, alors que chacune de mes respirations étaient dominés par la peur. L’air devint de plus en plus moite, et la foudre commença à tomber, d’abord a une cinquantaine de mètre, se qui déjà me paralysa, apeuré je m’appuyai contre le large tronc de l’arbre qui m’abritait, personne n’était la pour me dire que c’était dangereux. Je ne le sus que trop vite, la seconde cible de l’éclair fut l’arbre voisin de celui qui m’abritait, je vis un flash, et tout s’éclaira comme en plein jour, alors qu’il y a quelques secondes tout était noir. J’enfouis ma petite tête entre mes antérieurs, gémissant, le corps tout tremblant. Puis tout redevint noir, et un craquement lugubre ce fit entendre. La première chose que je vis en relevant la tête, ce fut un étrange reflet rougeoyant dans le lac qui se tenait en face de moi, puis la luminosité dans laquelle je baignais m’intrigua, une odeur acre vint s’éprendre de mes naseaux, la chaleur parvint jusqu'à moi, et en quelques secondes avant que je n’ai pus réagir, je vis les flammes qui consumait l’arbre a côté de moi, elle léchait hardiment les branches de ‘mon’ arbre. Complément affolé, encore tout chétif, je me relevai, le corps raide, les membres tanguent, jetant des yeux paniquaient, sans pouvoir courir. Indécis, je contemplais le feu, subjugué, courir, oui mais vers ou ? Il fait noir, j’ai peur… Je lançai un hennissement plaintif, suraigu, avant de faire demi tour, et de m’enfuir au galop. J’étais trop faible, je m’écrasai lourdement face contre terre, et la peur se peignit sur mon visage. Ma respiration devenait trop irrégulière, je pleurais, je voulais hurler de peur, mais seul quelques gémissement sortait de ma gorge brulé par la fumée, qui me piquait les yeux, brouillant ma vue. Un grincement retentit, je sentis un long souffle prolonger, puis un ‘BOUM’ tonitruant, qui fit vibrer le sol. Un des arbres s’était couché a quelques mètres de moi, il était en proie aux flammes, et moi je n’arrivais plus à me lever, j’avais mal a la tête, je voyais ma dernière heure arriver si vite, je ne voulais pas être brulé, le brasier m’impressionner trop ! Je m’agitai a même le sol, hennissant a fendre l’âme, alors que les particules en suspension venait teinter ma robe de noir. Je me devais d’être brave, un dernier coup d’œil au cadavre de ma mère qui trônait là, et je me relevais en toussant, allant aussi vite que mes jambes le pouvait près de l’étang. Je sentis mes postérieurs déraper, et le trou noir. J’avais chuté du haut de la rive, jusque dans l’eau glaciale, les rochers pointus enfouis sous la vase n’épargnèrent rien de ma peau fine, déchirant mes flancs en lambeaux, et coupant profondément mes membres déjà meurtrit. Je gisais inerte dans l’eau croupie… Les nuages s’ouvrirent, et déversèrent alors des pluies torrentielles qui éteignirent les flammes. Ce ne fut que bien plus tard, que j’ouvris a nouveaux les yeux, de cette nuit d’épouvante, restait un tas de cendre et un vent glacial qui séchait mon corps abîmé, malmené … J’avais froid, très froid a présent. Mais le pire est à venir …

Apres c’est premiers jours laborieux, il fallait a tout prix que je m’alimente, mes côtes étaient saillantes, j’étais faible, et ma difficulté à respirer s’accrut avec le temps. J’avais contracté une virulente pneumonie, mais ça je ne pouvais le savoir, ignorant l’existence des maladies, je ne savais rien de la vie, ni manger tout seul, ni parler. Une toux acidu m’accompagné partout, enveloppent ma gorge d’une douleur lancinante. Je faisais peine a voir avec mon air maigrichon est plaie béantes infectée, les mouches rodaient, nichant dans les plaies qui devenait de plus en plus sales, mais surtout très douloureuses. Je ne pensais pas en rechaper, chaque pas était une torture abominable, je ne pouvais fuir les prédateurs, et je n’étais pas assez bien physiquement pour leur tenir tête et sauver ma peau, non, il était clair que je n’allais pas me faire vieux. Mes petites jambes finirent par ne plus s’animés, je restais prostré prés de l’étang qui m’avait vu naitre, dans quelques heures je serais certainement mort de fin, mon organisme ne pouvant digérer convenablement l’herbe que j’ingurgité, je passais de longue soirée a me ronger les flancs, tordu de douleur a cause des coliques, parfois même sous la pluie et la grêle. Si je m’éloignais trop, j’avais peur de ne plus avoir la force de revenir jusqu'à la berge, et par conséquent mourir de soif. Les autres chevaux ne venaient pas me voir, et je refusais d’aller au sein du troupeau, depuis ma naissance je n’avais jamais eu de contact avec mes congénères, ma mère m’avait quitté trop tôt pour que je me familiarise avec elle, et d’une certaine façon je n’avais pas l’impression d’être un équidé, j’étais perdu, seul dans un monde dont j’ignorais tout. Avec le temps tout s’apprend, et le fait que mon corps accepte l’herbe fut le début de ma renaissance. Au fil du temps je reprenais du poids, ce qui me sortit de cet engrenage infernal, même si mes plaies restaient très inquiétantes. Mais le moral était bel et bien là, je commençais à me remettre de tout ce qui m’étais arrivé, courageusement. Les mois passèrent, mais je refusais toujours les autres de mon âge, n’hésitant pas à déclencher la bagarre, étant plus précoce que les autres, les défier me plaisait grandement. Je pris vite gout a la bagarre, et je fis mes premières armes, contre des chevaux plus âgés, mais malheureusement ceci devint plus qu’un jeu … Mettre a terre mes adversaires pour recommencer le lendemain ne suffisait plus a assouvir ma soif, j’avais besoin de me battre pour quelques chose de concret. Je dois avouer que les deux ans qui suivirent ma naissance furent les plus compliqués, je me cherchais et je ne savais pas réellement qui j’étais. Tourmenté, je devins violent, récalcitrant avec la petite bande d’étalon que j’avais intégré. Je voulais être le chef, et je ne mis que guère de temps avant d’imposer ma loi ! Une soumission quasiment totale, je régnais en monarque. Une petit bande de robuste étalon dans la force de l’âge, dominée par un encore plus jeune, blindé et blasé de tout. Que voulez vous des erreurs on a tous fait, c’est pour ce la qu’à la fin de ma deuxième année je m’exilai … Certes je n’étais pas un tueur, je n’étais pas aussi stupide que ça, il y avait des choses bien plus intéressantes a découvrir. Mais j’étais un solide vagabond, un inlassable baroudeur, qui n’aimait pas la compagnie. Dominant et violent. Peu de personne osait me tenir tête, et je m’occupais personnellement de ce qui clamait haut et fort, ne pas craindre ‘L’orphelin ‘, comme on me surnommait a cause de ma terrible enfance. Mais moi j’avais la prétention de ne redouter personne, et rapidement je me fis une solide réputation de manipulateur. Mais un beau jour, je décidai de m’en prendre au dominant d’un troupeau, peu importe lequel je voulais donner un but a mon existence. J’avais grandis, et dominé un vaste harem, me rassasierai. Luttant pour la place tant de fois convoité, je provoquai le dominant, un peu vieux, mais rodé des combats, il semblait remettre vite fait les jeunes a leur place… Pas moi, je serais l’exception à la règle. Un combat acharné commença, le sang affluait dans mes tempes, retentissant tel un gong implacable. D'un brusque mouvement d'épaule, j'évitai les mâchoires entre ouverte du dominant... Aussitôt, je ripostai, et plantai mes jolies dents, dans son dos court et sec. La réplique ne se fit pas attendre, et je me pris un cinglant coup de sabot, en plein milieu du poitrail. Mes oreilles s'abaissèrent un peu plus qu'elle ne l'était déjà. Je claquai puissamment mes dents sur sa gorge, à la trachée juste en dessous de sa tête. Et d'un violent mouvement de tête je sectionnai l'artère... Le vieil étalon tituba, et s'écroula au sol, saignant abondamment, les yeux exorbités, injecté de sang. Je ne lui laissai pas une seule chance, je soulevai mes antérieurs avec légèreté, et celles ci s'abattirent sur son crane osseux. Je jetai un dernier regard mauvais au troupeau, la roue tourne, tour a tour ils allaient comprendrent le mal que j'avais enduré...

L'histoire est un copier/coller d'un rp ancien, je tiens a preciser que mon style a evolué Wink

. Si le temps me le permet je la rafraichirai =) .
Pour ma signature, elle viens d'un don x) .
Pardonnez les fautes d'orthographe ^^ .

Crédidiouh ! :taré

.

Tu peux jouer Smile

( je lirais plus tard si je trouve le temps x))
Je vous quitte pour aller à Lille les ami(e)s ! ♥ )

Ton histoire est magnifique I love you

Bienvenue ^^

Je suis désolée de casser le party comme ça, mais la photo est NLDD depuis des lustres :retaré

Bienvenue =).

Merci .

Super cheval =)

Swillaïna a écrit:: Bienvenue =).

Si j'te propose d'autres photos, tu serais d'accord pour changer ta sign?

Parce que si elle est NLDD ..

Inutile =) .
L'image a était pris dans des dons sur Free Horse , et la fille qui a ' créaté ' m'a dis qu'elle avait les droits d'auteur. Apres j'ai eu beaucoup de problème avec les signa' qu'elle me fesait =S.
Donc si sur ce coup là sa repose problème je changerais, j'ai plein d'image, ne t'inquiète pas =) .

Ok

~~Mais moi j'aime bien donner des photos hein ><~~

Alors je prendrais tes photos avec plaisir Wink

MOON LIGHT a écrit:: Inutile =) .
L'image a était pris dans des dons sur Free Horse , et la fille qui a ' créaté ' m'a dis qu'elle avait les droits d'auteur. Apres j'ai eu beaucoup de problème avec les signa' qu'elle me fesait =S.
Donc si sur ce coup là sa repose problème je changerais, j'ai plein d'image, ne t'inquiète pas =) .

Petit rappel, pour pas que le Forum ai de problème oublie pas de la changer .

Pour l'instant il n'y aucun problème avec la signa'. je l'utilise sur d'autre forul egalement et ça se passe bien.

Si la Photographie est NLDD, et que personne ne t'a encore rien dit, c'est que tu auras des problèmes plus tards. Fait attention, je préfaire laisser un Admin s'en charger, il sera te dire

.

Voila .

Merci beaucoup.

Vraiment magnifique

Je déplace.

C'est parce que c'est le même photographe, cette photo -_-'
Elle est aussi NLDD.

.

Embolizm Hoodoolium a écrit:: C'est parce que c'est le même photographe, cette photo -_-'
Elle est aussi NLDD.

Merci embolizm .

Bah rechange encore .

C'est ce qui s'appelle avoir la poisse

» Kaidan Light. [E]
» WITH MOON' .
» Priest Of The Moon [E]