Prince de l'obscurité

Prince d’un monde irréel __

L

Cerïal Lulanïo __

S

Prince des enfers __

l PARTIE 1 l

L'ombre n'est qu'une illusion ...

Le paysage était calme et froid, l’ombre de quelques vielles souches formait des ombres imitant des monstres, le ciel était rougeâtre par le couché du soleil, ce qui donnait encore plus l’impression d’être en enfer … Quelques corbeaux ricanaient sur les branches des vielle arbre desséché par les années. L’air avait une odeur de mort, celle qui vous donne envi de vomir vos tripes, un air lourd et peu agréable lorsque qu’elle passe dans nos naseaux. Quelques feuilles tourbillonnaient suivant une danse endiablée avec le vent. Mais très vite les clapotis de mes sabots étaient du au cognement entre ceux-ci et les pierres qui étaient tombé du rocher imposant et sombre qui rendait ce lieu lugubre. Mon corps se dessinait comme une ombre dans un paysage de malheur, mais étant téméraire, rien de tout ce cirque pitoyable ne pourrait m’arrêter. Mon corps n’était que paradis, il contredisait ce paysage d’une finesse machiavélique. Et cela m’amusait de paraître si douce comme du velours et tranquille. On me prenait pour un ange, mais les démons étaient des anges déchus … n’est ce pas ?

Une silhouette au loin formait une décoration dans cet endroit simple et peu coquet. Je me disais bien que j’avais sentit une odeur autre que celle des oiseaux de la mort. Mes oreilles pointées scrutaient le moindre bruit, pendant que mes yeux de loup visionnaient les moindres recoins. Chaque bruit m’était retransmit, je voyais bien par les gestes du cheval que s’était un étalon, plutôt typé arabe, comme moi. Mais ce être était-il aussi le fruit d’une erreur du paradis ? ...

A

Que voulez vous , quand on a l’habitude de vivre dans l’ombre …

M

Attention le corbeau peut t’arracher le cœur …

M

l PARTIE 2 l

Le papillon ...
Le jeune inconnu était surement plus intéressant que le paysage qui n’importait rien de plus qu’un décor pour mon regard qui dévorait le mâle de mes yeux bleutés. Je restais là planté quand un piquet autour d’un désert de pierre. Aucune vie n’était ici, et ce n’était pas souhaitable. Aucun point d’eau, aucune touffe d’herbe bien grasse. Mais cela ne m’effrayait pas, ni l’étalon ni les corbeaux ni même ce décor pittoresque qui ne rimait qu’au malheur et reflétait mon dangereux visage. J’avançais à pas gracieux entre les rocailles, puis leva l’encolure vers un point d’eau aux frontières de cet endroit se trouvait une petite crique boisé. Un contraste incroyable, et mes membres trottinèrent avec agilité et souplesse telle une déesse dans son royaume des cieux =).

Le point était entouré d’hautes herbes, je m’enfouis cachait mon corps remplit de grâce et de finesse. Aucun corps gras ne se posait sur celui-ci, mon corps était très svelte, mais pas maigre, le se qu’il faut dans ce qui y a de plus beau. J’inclinais mon encolure près du point d’eau et en bu sa jouvence. L’eau coulait dans ma trachée comme une cascade pleine de vie, ce sentiment de fraicheur me fit frissonner, je relevais l’encolure interrompu par un bruit vulgaire et sourd. D’un coup étendu, prenant mon temps. Ce n’était qu’une bête qui venait de déranger mon extase de fraicheur. Je fis quelques pas dans l’herbe pour nettoyer mes sabots du sable de l’autre coté des herbes hautes. Il me prit d’un coup de m’ébrouer agitant mon encolure étoffée de ma crinière douce et soyeuse comme la neige. Je fixais l’horizon, mais l’étalon semblait disparu comme un papillon éphémère et magique …

L’étalon gris disparut tel un fantôme suivant tout de même la jument blanche . Il se cachait dans le noir qui commençait à s’imposer . Plus personne ne pourrait bientôt le voir , tant mieux . L’occasion peut être de s’amuser un peu , et revenir en enfance quand il avait encore peur des ombres blanches . Alors qu’il s’arrêta , il voyait d’une vision parfaite , la silhouette de la jeune jument qui semblait boire . Toujours son sourire malsain aux lèvres , ses pas étaient d’un silence extrême . Discrétion oblige non … Les oreilles de beau étaient pivotés vers l’arrière , prête à tout moment à se coucher , se plaquer contre sa crinière peu abondante .

Bouh !

Quand soudain sous son regard mystérieux apparut s’avançant vers lui cette silhouette blanche qui flottait dans les airs . Ne s’y attendant pas , il sursauta discrètement en arrière et coucha ces oreilles . Murmurant d’une voix tellement faible que personne ne pouvait l’entendre :
« Pauvre écervelé tu m’as fait peur … »
D’un air mauvais , il contourna cette ombre qui le suivait à la trace . Ce qui commençait légèrement a inquiétait le gris . One ne pouvait pas cacher qu’une légère peur s’éveillait en lui , comme un gamin . Puis il coucha ces oreilles , et balança en arrière son encolure de manière a avoir vu la silhouette blanche flottante disparaître dans le noir .

l PARTIE 3l

Danse endiablée

Un grincement de cailloux me fit changer de direction, je vus l’étalon gris, mais ces traits n’étaient pas distinct, il faisait bien trop sombre. Mais la lueur blanchâtre qui rodait autour de lui, cela elle le voyait, et plutôt bien même. La jument vut que l’étalon n’appréciait pas vraiment la présence du spectre. La jument, elle connaissait bien s’est être machiavélique qui espérait faire peur, mais bien qu’au début, elle y portait une grande crainte, elle s’aperçut très vite qu’ils étaient inoffensifs. Depuis elle dansait en galopant avec eux, comme une danseuse étoile qui faisait un ballet dans une brume semblable à la neige. Elle eu une impulsion et prit un petit galop qui devenait de plus en plus fort. La jument se sentait comme volé, elle se dirigeait vers l’étalon qui n’avait toujours pas l’air d’apprécier la compagnie funeste. Elle le frôla au passage sentant un courant d’air entre les deux corps. Swillaïna accéléra de plus belle, prenant des virages et bondissant entre les spectres, elle aimait prendre des coups de folies. Se sentir si libre que l’on peut toucher les étoiles. Celles qui venaient de recouvrir le ciel …

Après une folle course intense, elle s’arrêta un peu essoufflée, elle s’ébroua gracieusement et leva la tête vers l’étalon, la danseuse donna un petit coup de tête sur le coté pour remettre son toupet en place. Un air charmeur qui ne quittait jamais son regard fixa le mâle, elle ne s’y approcha pas, préférant jouer sa carte piège … le mystère …

L

Tu crois avoir gagné , étrangère …

E

« Tu n’es pas de ma famille sa se voit . »

l PARTIE 4 l
L'humour ?

La belle grise plaqua doucement ses oreilles contre sa nuque lorsque l'étalon souris se colla à elle. Son air de seducteur elle le connaissait, elle même l'avait ...
Elle tapa du sabot lorsqu'il le frola, n'aimant pas être toucher, elle ne voyait pas souvent d'étranger, alors fallait bien feter ça. Elle le suivit au petit trot, passant devant lui, elle lui coupa la route vulgairement. Et elle souffla dans ses naseaux, il voulait la défier ? Monsieur serait servit .
D'un air narquois, elle plissa les yeux et leva un sourcil en disant d'un ton mielleux :

"- En tout cas, ce n'est pas moi qui à un coup de vieux sur la tête ... ".

Toujours les mots pour faire plaisir, elle en avait un dico entier des betises dans ce genre, et prenait un malin plaisir à sortir celles-ci lorsqu'un étalon un peu trop sur de lui était présent à ses cotés. S'était la période des chaleurs, elle jouait de son charme et de sa mysterieuse identité.
Son encolure courbée, la belle continua son chemin gardant la queue en panache et l'air supérieure ... un point pour madame =).

( Pas d'inspi =S)

L

« Enfin voyons , je vous croyez plus intelligente que ça . Car moi au moins je ne joue pas dans votre jeu je ne suis plus un gamin . »

& le cauchemar s’envola vers le paradis …

S

l PARTIE 5 l

Grâce et beauté ...

La nuit était complètement tombée, le soleil était partit dans ses rêves les plus profonds. La belle jument acquisa un sourire en coin de commissure des lèvres, et s’ébroua faiblement dans la pénombre, elle trottina les crins au vent, une sensation de liberté la parcourut, s’éloignant du grand mâle gris souris.
Elle sentait l’herbe encore douce et sèche, mais l’air avait terriblement refroidit presque glacial. Elle marchait pour ne pas avoir trop froid, ses membres fins et sa robe peu épaisse ne lui procurait pas une forte chaleur, elle était des pays chauds, et non des pôles nord.
Son allure était douce et régulière, comme une déesse marchant sur un tapis florale.

Ses courbes étaient parfaites, la jument ne se retourna pas, laissant une mystérieuse atmosphère. S’était la période des chaleurs, les femelles étaient un peu sur les nerfs d’habitude, mais Swillaïna elle n’y pensait pas trop, toujours un air charmeur, alors avec ou sans, aucun étalon ne pouvait être aveugle de son charme. Elle venait de s’arrêter sous un arbre un peu dessécher, sous l’abri des regards indiscrets. Ses yeux doux comme la une rivière bleuté, aussi profond que les abysses. Un regard unique pour une jument unique =).

L

P

l PARTIE VI l

Illusion ...

Chacun à sa façon avait son coté majestueux et mystérieux, mais tout deux avait un honneur, et pour le moment aucun des deux n’iraient approcher l’autre. La belle jument continua son chemin tout en humant l’air de son svelte museau, ses pas doux et voluptueux dessinait dans le sol un chemin, des demi-cercles ce formaient dès que la jument enlevait son sabot du sol poussiéreux.
Elle sentait que le mâle n’était pas agressif, et donc il ne présenterait aucun danger, pourtant leur famille se détestait, et cela s’était bien réel.

« La réalité n’est qu’un mensonge, pour rassurer les gens … »

Ils n’étaient pas si différent, aucun des deux n’étaient des monstres, se battre pour l’inutile, la jument n’en voyait pas l’intérêt. Pendant qu’elle marchait doucement, ses pensées se tournaient pour l’activité de l’étranger. Que pouvait-il bien faire ? S’occupait-il de ses formes ? Ou l’ignorait-il ? Une succession de questions galopèrent dans sa tête à toute allure, elle restait pourtant d’apparence calme et sereine.

« L’apparence n’est qu’une illusion parmi tant d’autre … »

O

I

l PARTIE VII l

Dream ...

La jument commençait à se lasser, elle s’arrêta de trottiner laissant le vent emporter ses crins, elle tourna la tête et vu que l’étalon était plus loin qu’elle ne le pensait.
Son regard doux se posa sur les courbes du grand mâle, elle frissonna par le manque de chaleur et ferma tranquillement les yeux pour partir dans ses pensées, elle était un peu fatigué la journée avait été longuette. Elle imaginait tant de choses, que même votre esprit imaginatif s’y perdrait, des choses joyeuses, comme des choses tristes. Mais elle se comprenait, lorsqu’elle parait dans un autre monde, celui des rêves …

« Dans les rêves, il y a toujours une part de réalité. »

Le vent faisait bouger quelques branches, les faisant grincer, peu agréable à l’ouïe, mais la jument resta concentrée. Cela ne la perturba pas vraiment. Elle rêvait et s’y sentait bien.

« Sentiment d’évasion où es-tu ? »

L

M

Réel ou Iréel ?

Les lueurs blanches faisaient leurs apparitions encore une nouvelle fois, mais la svelte n’y fit pas attention s’était comme si, il faisait partit des décors, elle fixait le mal d’un regard intense et gourmand. Sans cligné des yeux une seule seconde. Aucun geste, elle ne bougeait pas, son ombre était le fruit des rayons de lumière émit par la lune. Celle qui était si douce le soir, et qui vous berçait vos nuits. Son regard puissant et bleuté ne se cassa qu’après qu’un bruit qui s’emblait se déplacé, elle se tourna et aperçut un chacal, elle fit face à celui-ci et se cabra de sa plus haute hauteur, celui-ci était encore jeune, il devait surement apprendre à chasser, mais … il prenait gibier trop gros pour un début, il vit que la jument n’était pas okey pour son entrainement. Il grogna mais quand celle-ci agita ses membres dans tous les sens, il comprit enfin qu’il n’aurait aucune chance et rebroussa chemin, lorsqu’elle redescendit sur ses membres, elle s’ébroua portant ses oreilles plaqués et enfouit sous ses crins. Elle se retourna et chercha l’étalon du regard … il avait encore une fois disparut …

« Était-ce un rêve ? Ou une réalité ? Qui sait ? »

I

L

" Parfois on pense que le danger n'est plus là, mais il revient lorsque l'on s'y attend pas ..."

La belle cherchait du regard l’étalon mystérieux, lorsqu’elle tourna son regard vers la droite, elle s’aperçut que trois chacals se dirigeaient droit sur elle, elle fit de gros yeux surprise de cette rencontre inattendu, mais très vite elle leur fit face, n’étant pas sur qu’elle en sorte vivante, mais au moins elle se sera battue pour vivre.

L’antérieur qui grattait le sol tel un taureau elle attendait les félins avec pas vraiment autant d’assurance qu’elle le montrait, mais elle fut distraite par l’arrivé fracassante du grand mâle, qui venait d’attraper un félin par la queue, elle sourit mais très vite les deux autres se dirigeaient vers elle. L’un des deux sauta sur celle-ci qui par peur se cabra et agita fortement ses membres dans l’air, il reçut un coup de sabot en pleine tête ce qui lui fit perdre conscience.

Mais l’autre sauta sur la jument, et y planta ses griffes, elle hennit puissamment et rua pour qu’il descende … Et d’un coup bien placé elle le retira en l’éjectant en l’air, mais il retomba sur ses quatre pattes. Il lui fit face et la jument soupira nerveusement.

Le grand gris resta quelques temps immobile a observait la blanche se défendre contre les bêtes . Puis voyant , le chacal se releva , un sourire ironique apparut sur ses fines lèvres . Couchant les oreilles sont regard devint tel un tueur . Puis baissant son encolure au sol il se dirigea passant par derrière le chacal . Alors qu’il se préparait à se jeter sur la belle blanche , l’étalon posa son antérieur sur la queue de celui-ci qui tenta de s’élançait mais tel un élastique revint au point de départ . Un sourire moqueur se dessina aux lèvres du grand mâle . Quand soudainement il sentit le sang coulait le long de son antérieur . L’animal s’y était accroché t une douleur le prit alors . La vulgaire bestiole grognait en essayant d’atteindre la jugulaire de l’étalon qui se dirigea au galop vers un arbre , mais le chacal en profita pour monter sur le côté du gris .

Lui arrachant la peau avec ces dents acérés , le gris prit au galop furieux et fonça droite dans un arbre claquant la bestiole contre son tronc . Il s’écarta et le chacal , assommé tomba comme une mouche par terre . Et sans adresser ne serait-ce qu’un seul regard à la belle , s’inquiétant intérieurement pour son état , il observa ses blessures . Rien de très grave même si le sang coulait . Mais contre toute attente , le chacal se réveilla et bougea une patte grognant . Le gris lui donna un violent coup d’antérieur en disant d’un chuchotement rageur :

« Sale bête ! »

Il s’ébroua longuement et finalement releva ses yeux argentés vers la jument . Ne lui adressant aucuns sourire il se dirigea quand même vers et dit d’une voix légèrement moins froide mais toujours aussi mystérieux et dure :

« Sa va ? »

On pourait en oublier le principal ...

Tout s’était passé très vite, lorsque le chacal aurait pu bondir sur Swillaïna l’étalon l’avait retenu, elle avait lancé un petit sourire moqueur quand le félin avait fait élastique. Elle avait suivit toute la scène, mais de loin, l’étalon était partit pour se venger de la blessure que lui avait fait l’animal sauvage. Elle regarda l’étalon s’approcher d’elle. La belle à la robe blanche n’avait rien si ce n’est qu’une petite griffure près du garrot, rien de très important plus une blessure superficielle. Mais il faisait sombre et elle ne s’était pas aperçut que l’étalon lui était couvert de blessure importante. Lorsqu’elle s’approcha elle vut à la lumière de la lune les dégâts sur l’étalon …
Et un trait sur son visage se formait, mais un trait de stupeur, il avait sur le membre une entaille pas mal ouverte. Elle s’approcha encore de plus près, presque un mètre de lui et elle dit en ayant oublié la question de l’étalon.

« - Vous allez bien ? O.O »

Dit-elle avec une pointe d’inquiétude, elle ne le connaissait même pas, mais il lui a surement sauvé la vie … Elle avait même peur pour lui, se n’était pas dans ses habitudes d’ailleurs …

« La vie fait que l’on se trompe sur le compte des gens, mais le principale c’est que l’on le reconnaisse. »

A la lumière de la lune , l’étalon gris baissa son regard et vit son entaille à l’antérieur . Elle lui faisait mal mais ce n’était pas la seule blessure , qui lui faisait mal . Tout son corps lui provoquait plusieurs picotements infernaux . Mais dans sa tête , il n’avait pas mal ce qui lui permettait de combattre la douleur sans la sentir . Efficace comme technique , la preuve il n’était même pas rendu compte de l’ouverte qu’il avait à son antérieur gauche . Mais peu importe , lui car lui il avait vécu ça pleins de fois et avait toujours survécu . Néanmoins il mit un temps à répondre à la question de la belle et finalement prenant sa voix douce voix belle et grave :

« Oui . Sauf si tu continus à me tutoyais . J’aime pas sa m’fait bizarre … »

Mais même dans des situations pareil il tente de trouver els mots pour détendre . Affichant un sourire amusé qui partit aussi tôt , le grand gris tenta malgré l’obscurité de voir les blessures de Swillaïna . Elle n’avait rien , ce qui le rassura juste une petite blessure au garrot . Laissant ses yeux d’argents brillaient dans le noir , Cerïal dit :

« Tu t’es pas mal défendu … »
* Pour une Armentia … *

Pensa-t-il avec ironie …

Reconnaissance ...

La jument immaculée acquisa un sourire amusé lorsqu’il lui répondit, elle inclina la tête un peu plus basse et s’approcha de lui posa son encolure sur son garrot et y déposant une douceur incroyable, tel une plume posé sur arme de guerre. La jument ne se colla pas trop, pour éviter d’enfoncé le couteau dans la plaie et elle dit d’un ton doux et reconnaissant :

« -Et toi tu m’as sauvé … »

Parfois le regard que l’on porte sur un étranger peut très vite changer, il ne ressemblait pas à ce qu’il voulait qu’on le croit qu’il est. La jument recula doucement et s’était recouvert du sang du cheval souris, elle n’y prêta pas attention enfin, elle n’aimait pas trop avoir sa sur sa robe, mais grâce à lui elle était encore sur ses quatre sabots. Puis elle s’ébroua un peu mais ne montra pas son dégout.

« L’habit de fait pas le moine.. »

L’étalon gris , sentant la chaleur du corps de la belle contre le sien frémit légèrement . Étant restait solitaire pendant pas mal de temps , sa lui faisait étrange de sentir de la chaleur contre sa peau cuivrée . Puis la sentant s’écarter il l’observa , regardant sa peau maintenant taché de sang , de son sang à lui . Et il ronfla des naseaux , dégageant une douce chaleur qui volontairement allait chatouiller les naseaux de la belle . Cet air toujours aussi sérieux disparut pendant un quart de seconde pour laisser lace à son sourire léger presque invisible mais qui pourtant se figea . Il répondit :

« Oui ,je n’allais pas laisser une demoiselle , entre els crocs d’un animal aussi primitif et idiot . »

Cerïal gardait étrangement son sourire . Il était vrais que si il se serait vu à ce moment là il aurait fait un bon vers l’arrière de stupeur . Il ne se serait pas reconnu . Déjà de part le fait d’avoir d’avoir aider une famille opposé malgré qu’il l’ai fait de bon cœur , mais aussi ce sourire . Laissant un espace de silence , un blanc il poursuivit :

« Cerïal Lulanïo . »

[ Vais me couher . Bizoux <3 ]

(( Enfin ))

La belle jument truité semblait calme et paisible, son regard était un peu perdu dans la nuit noire. Elle venait de se faire attaquer, mais n'avait pas l'air inquiete, enfin c'est ce qu'elle montrait. Swillaïna se sentait surement en confience, et puis l'étalon venait de lui prouver sa bravour. Elle l'observa sans un mot, ses lèvres restèrent clos, aucun bruit si ce n'est celui du vent qui soufflait dans ses crins comme si elle faisait qu'un avec la nature. Puis elle se décida à rompre se silence, et dit d'un ton jovial et très paisible:

>> Swillaïna, Armentia.

Qu'est ce qu'il allait penser de sa famille ? Etait-elle en danger ?
Vous pensez surement comme moi, losqu'on rencontre quelqu'un qu'on ne connait mieux vaut cacher sa famille, surtou quand ce quelqu'un est un étalon à la bravour plus que royal. Elle resta droite dans le sens du vent.

S

« Enchanté »

E