MERCILESS REALITY

" L'ART DE BRAVER LA VIE"

Seul, comme a mon habitude. C'etait encore ainsi que je me sentais le mieux, encore plus libre de mes mouvements que je l'etais deja, je luttais sans peine contre l'ecrasante solitude qui vous enivre. Il est tres dur de revenir a une vie sociale banale, lorsqu'a un passé tel que le mien, avec ses lieux deserts, et ce contact tellement etroit avec sa propre espece qui est a la limite de l'inexistance. J'avais finis par me lasser de tout cela, est en plus d'etre solitaire, je devins vagabond ... La bete noire des dominants, qui s'extenuent a nous chasser de leurs terres, ou ils enchainent un harem de chevaux, qui ne savent pas ce qu'est reellement la vie. On etait en fin d'apres midi, quelques les fines raies lumineuses du soleil declinant luttaient pour transpercer la couche assombrissante de nuages noirs. S'évertuant a danser sur mon cops momentanement immobile, d'ou se degager de sublimes reflets cuivrés. Je courba l'encolure vers l'herbe haute, quand un souffle de la brise s'echappa et s'engouffra sous ma crinière ebene, la fesant virevolté au grés du vent d'est. Poursuivant sa route le long des courbes gracieuses de mes muscles contractés, me fesant fremir imperceptiblement. La bouche entrouverte, mes levres se delectaient d'une etroite tige verdoyante, que j'allais m'empresser d'engloutir, quand une odeur frappa mes naseaux. J'etais face au vent, et je fus donc tres sur de moi quand je sentis la presence d'une jument, il n'y avait aucune erreur possible. Malgres que je ne sois pas de ces tueurs cupides, ou de ses sailliseurs degeneres, une de mes oreilles vint s'eprendre de ma tete, relevée sur ma forte encolure en col de cygne. Mes yeux sombres fixaient obstinement l'etendut qui s'offrait a moi, et que je devais desormais partager avec une inconnue, qui ne fesait toujours pas partie integrante de mon champs de vison. Pourtant il y avait bien cette silouhette grisatre ou noire, je ne pus distinguer nettement sa robe. D'ici, elle semblait frele et hesitante. Pourtant je savais que c'etait tres certainement la distance qui me jouer des tours. Je ne fis donc aucun gestes, aucun hennissement ne s'echappa de ma gorge. Oublier l'herbe grasse, je fixais inlassablement la silouhette, et seul mon souffle regulier qui animé mes flancs, venait troublé le silence, de quelques ronflements.

IL EST TELLEMENT PLUS FACILE DE FUIR QUE D'ASSUMER

Je n'allais pas attendre cette mysterieuse inconnue, trop insociable, certainement. Lentement, je me remis en mouvement ... Je me decoupais telle une silouhette seche et robuste, mais ma robe ebene me fesait passer pour une ombre sans couleur. Je tracais ma route au milieu des anciens & intouchable murs grisatre, pour la plus part a moitié effondré, et recouvert d'une mousse epaisse, dut a l'humidité du lieu. Je n'etais pas contre un peu de fraicheur, mais l'air moite, le sol collant et boueux, garnit d'une herbe rase et grasse me faisait penser a un marecage, malgré qu'il n'en fut rien. Les muscles endoloris a force de marcher, je delaissai mon rythme soutenu pour un plus clement, qui je l'espere appaiserer la douleur, qui s'evissait de plus en plus fort sur mes jambes. Je finis meme par m'arreter, et apres avoir soigneusement tourner la tete de gauche a droite, en srcutant les lieux jusqu'a l'horizon de mes yeux sombres, je courba la tete, laissant pendre mollement ma levres inferieur qui vint pinçer les brins d'herbe. En y mettant plus de vigueur, j'extirpa la touffe complete, avec en prime une masse de terre ecoeurante qui englobait les racines. J'agita violament ma trouvaille, et la debarrassa ainsi de la boue. Rassasié ? Je n'avais pas manger depuis quelques jours, mes insomnies me rendent d'une humeur massacrante, toute chose essentiel m'echapper et je ne penser qu'a marcher, et courir pour me defouler. Heureusement cette periode semblait appartenir au passé, mais je ne m'avançais pas trop vite, on m'avait appris a ne pas tenir de conclusion attive. Une nouvelle fois, mons esprit sombra dans une reflexion sans importance, et je me remit a marcher avec entrain, sillonant entre les ruines, pardon ce lieu sacré, qui ressemblaient a une foret degarnit barré par d'imposants murs delabrées et ébréchés, auquelles je devais me forçer pour y trouver un quelquonque interet, qui m'aurais divertit plus de deux secondes. Oui, j'étais vraiment tres negatif aujourd'hui... J'abandonna là mon reste de reflexion et me mis a scruter la jument lointaine a travers une ouverture .

[ minable ???????????? ..... t'inquiète je rep mais la .... wahou vais je etre a la hauteur quoi ]

La jeune noire comme a son habitude ne recherchait pas une compagnie même si elle n'était pas pur solitaire, a partenant sois disant a l'un des deux grosses familles de ses terres. D'aillieurs elle n'aimait pas le mot appartenir, aussi longtemps qu'elle vivrait elle n'appartiendrais a personne. Même si un jour, un étalon parvenais a la séduire ... elle ne lui appartiendrais pas. Pour le moment elle n'était pas un modèle de fidélité même si elle se disait pas infidéle. Pour elle, la fidélité est la que quand deux etre s'aime mutuellement. Et comme elle n'a jamais aimé personne, elle ne pouvais se montrer fidéle. De plus a 3 ans, encore jeune et pas entièrement finit de grandir elle ne désirais pas s'handicapé d'une grossesse. Sa fine tête arabesque ne cessait de bouger pour suivre le vol d'une buse, magnifique oiseux dont elle aumait regardé evoluer et partager leurs compagnie. Une chose la tira de sa contemplation, elle se sentait coment dire ... mmh épié par quelqu'un. C'est le genre de regard insistant et pesant qui vous font ressentir une affreuse impression d'etre surveillé mais par quoi ? Est ce juste une impression ? Non, elle ne le pense pas. Ses oreilles pivotèrent lentement vers les côter pour faire du 120 degrés et capter le moindre bruit suspect. Ses naseaux fortement dillaté et son regard caressant l'étendu de paysage ... alors la ... Elle le vit non loin.

Un étalon noir comme elle, ayant l'air solitaire du moins jamais encore vue. Une chose est sur il n'est pas de sa famille, elle ricana pour elle même. Sa famille !! Elle s'en moquait bien d'aillieurs comme leurs perpituelle conflit avec les Sareata. Depuis petite du moins ses 1 ans on avit tenter faire hair cette famille soit disant traite et tout. Les insulté et les traité comme des merdes mais jamais elle ne l'avait fait, elle avait plus fort ... insulter les siens avant de disparaitre pour ne pas etre tué. Ressortant de ses pensée, elle le contempla a son tours d'un regard neutre. Il est vraie que sans le faire exprès elle donnait l'impression de faiblesse. Et bien sur beaucoup restait a cette première impression ... malheure a eux. End Roll ne bougea pas comme pour accentuer cet fausse images d'elle.

JEUX D'ENFANT .
" T'es partit, J'suis seul au monde ... "

M’a telle vue ? Je sens mes sabots s’éprendre de la boue après avoir traversé la couche d’herbe grasse. Je ne bouge pas, j’attends, laissant la fraicheur emprisonné mes chairs, alors que lentement ma silhouette immobile ce confond dans ce paysages immuable. Je vais faire demi-tour, et puis disparaître, après tout je fais ça si bien … Dans un geste lent je tournais mon encolure, mes naseaux rasèrent la pierre glacé qui faisait obstacle a mon souffle chaud. Un a un mes sabots se dégagèrent de la boue en claquant, brisant l’image de mon trot aériens et voluptueux, qui allais me perdre hors de ce lieux. Je projetais de trouvais un endroit plus vaste, qui assouvirais mes désirs de liberté, je ne pouvais faire un pas sans me sentir restreins, et mes membres se brisaient sous le poids de la compagnie. Je me frayais un chemin entre les fougères, leurs larges feuilles nervurées venaient heurtaient mon poitrail a chacune de mes foulées, laissant une marque foncé d’humidité sur ma robe, mais aucunes ne se brisaient. Il aurait était incommode pour un vagabond tel que je l’étais de marquer sa piste.
Mes yeux sombres balayèrent une dernière fois le sentier, si on pouvait l'appeler comme tel, avant de s'impregner du nouveau chemin que je devais suivre pour quitter les lieux sans être vu. Ce que l'on pouvait qualifier de ' jeu', je le pratiquais depuis mon enfance, disparaitre en un claquement de doigt pour éviter les interminables rencontres sans interet. Et même si je savais qu'ainsi je pouvais passer a côté de congénères interessant, ma propre experience me suffisait a moi même. J'étais assez incrédule, et il me fallait de solide preuve pour envisager un point de vue different du mien. Dans ma fuite, je ne pus résister a la tentation de jeter un bref regard en arrière pour couvrir la digne silouhette du regard, elle était vraiment jolie, oui, mais ça ne suffisait pas... Ca ne suffisait plus. Pourtant je réalisais que ma fuite n'en était pas vraiment une puisque je ne faisais que cotourné la jument, pour m'enfoncer plus profondément dans l'épaisse jungle. Apres tout, pourquoi la fuir ?

[ Tres cours . Sorry . ]

Biensure qu'elle l'avait vue et même le suivait du regard quand elle pouvais le faire car la végétation dense et épaisse le masquait. L'avait-il vue ? Elle le pensait car sinon pour réagirait-il ainsi a tournée autour d'elle. Elle sentait comme une sourie avec une buse lui tournant autour d'elle et attendant le moment propice pour fondre sur sa victime, elle. A une grande différence elle n'est pas souris et lui buse, ils sont deux chevaux de sexe oposé. Elle n'arrivait pas trop a l'évoluer a force de le voir brefement mais elle le trouvait grand et une belle musculture au reflet lustré baie quelque fois rougeayant. Restant pour le moment au milieux de cercle, elle n'espérais pas qu'il approche car de tout evidance il ne le ferais pas. Allait-elle le faire ? Ainse que d'y allez serait pure bétise, sans rien d'intéressant et sas grand intéret ? End Roll bougeait rarement sans raison et chaque réponse en principe lui apportait des choses. Les rencontre agacante et inutile, bien peu pour elle. Sauf le fait qu'il n'approchait pas ne fuyait pas, lui disait que cet étalon ne semblait pas vraiment fuire sa présence mais peut etre attendait-il comme elle, une raison pour s'approcher. Toujours a regarder l'évolution du baie, la noire trouva alors de lui parler ne serait pas perde de temps. Si elle se trompait elle metterais cours a leurs discution poliment comme non.

D'un pas léger et montrant son assurance, elle trotta vers lui comme l'envol d'un grand cyne noir. A quelque mêtre, elle prit le pas souplement prenant bien le temps de rallentir pour ménager ses articulations. Enfin, elle put mieux le voir et le détailla sans gène mais sans se montrer impolie. Allant de chaque partie de son corps a ses yeux avant de repartir sur une autre partie. Elle ne jugeait pas son physique même pour elle cela tenait une certaine importance. Elle n'irais pas rabaisser un faible mais n'ira pas l'aider non plus.

- Bonjour

LIBERE MOI.
« & J’ai beau prendre des coups, J’assume même quand tu deviens fou … »

Libère moi de cette souffrance que j’ai en moi, de toute cette haine que j’ai pour toi. Je n’ose partir a présent, pourtant une force me pousse à reculer a chaque fois que tu t’approche de mon corps écumant. Ma peau tressaillit, et mon regard se fixa obstinément sur la jument, je ne contrôlai pas la lueur mauvaise qui brillait derrière la profondeur du brun qui emplissait mes yeux. Je désirais la planter là, alors je me plaisais a l’imaginer si stupéfaite qu’elle n’oserait pas me héler, je poursuivrais ma route bien tranquillement, et mon esprit effacerais cette rencontre, comme il efface les traits d'un visage apres une longue absence ... Pourtant j'étais si indécis, que je finis par rester a découvert devant ses yeux, les sabots ancrés dans les gravats, les muscles si raides qui ne me permettaient pas un seul mouvement. J'encensa violament de la tête, et masqua mes fines oreilles oreilles charbonneuses sous ma fine crinière enmêler par ma course entre les branchages. Un long ronflement s'échappa de mes naseaux, ce fit le seul son qui émana de ma personne, je n'allais certainement pas la saluer, pas qu'elle n'en fut pas digne, mais je ne m'abaisser pas, a ce rituel de politesse de bas niveau. Un mouvement si faible de la tête, qu'il en fut presque imperceptible, suffit a lui passer le bonjour. C'était peu, mais c'était deja ça.

A FINIR.